Du grand destin des amours défuntes
Aux clandestins des sentiers de coloquintes
Restent les ternes ailes de cendre,
Recouvrant le coeur de scolopendres.
Au plus profond des nuits d'insomnies,
Démences, songes à définir des infinis,
Les rêves s'immiscent dans les soupirs,
Ravivant l'ultime flamme des désirs,
D'un drap de soie aux parfums de l'hallali.
A l'appel du loup, n'échapperont que maléfices
A la lueur de la lune, esquisse des orifices.
Que les voix de la pensée sont prolixes !
Quand l'horloge d'un temps se fixe.
Pourvu que tu écrives toujours...
RépondreSupprimer(Une moustache envoûtée, recouverte par la poussière des siècles)
Oh je découvre par hasard ce commentaire, j'ai longtemps essayé de te retrouver
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