Roxanne du Lac ( Laetitia Marie)

mardi 29 septembre 2015

Songes sans sommeil





Du grand destin des amours défuntes


Aux clandestins des sentiers de coloquintes

Restent les ternes ailes de cendre,

Recouvrant le coeur de scolopendres.

Au plus profond des nuits d'insomnies,

Démences, songes à définir des infinis,

Les rêves s'immiscent dans les soupirs,

Ravivant l'ultime flamme des désirs,

D'un drap de soie aux parfums de l'hallali.

A l'appel du loup, n'échapperont que maléfices

A la lueur de la lune, esquisse des orifices.

Que les voix de la pensée sont prolixes !

Quand l'horloge d'un temps se fixe.


2 commentaires:

  1. Pourvu que tu écrives toujours...
    (Une moustache envoûtée, recouverte par la poussière des siècles)

    RépondreSupprimer
  2. Oh je découvre par hasard ce commentaire, j'ai longtemps essayé de te retrouver

    RépondreSupprimer